100 Millions DE LIVRES AUX ORDURES : Alors qu'on s'apprête à célébrer la chute du mur de Berlin, l'Est Républicain du 30 octobre 2009 nous apprend, qu'après 1989, dans ce qui fut la République Démocratique Allemande, on a fermé les deux tiers des bibliothèques et jeté aux ordures 100 millions de livres. L'article est consacré à un pasteur qui en a sauvé quelques dizaines de milliers en prospectant les dépôts d'ordures où ils avaient été abandonnés. Ce n'est pas en mettant la culture à la poubelle que les hommes se débarrasseront du passé, dit celui qu'on surnomme le " pasteur des livres " Ces éradicateurs talibanesques ont-ils voulu du passé faire table rase ? Leurs prédécesseurs en 1933 se contentaient de faire une sélection sans brûler toute la bibliothèque. On explique mal cette furie expiatoire, sinon par la volonté de nier jusqu'à l'existence de la R.DA., ce qui rendra impossible le jugement éventuel de ses dérives et de ses crimes. Juin 2009 : Devant les résultats contestables de l'élection présidentielle en Iran, les ministres des affaires étrangères de l'union européenne demandent aux autorités de ce pays de respecter le vote des électeurs. On ne peut que se réjouir de cette unanimité pour se préoccuper des élection chez les autres, et s'étonner que l'Iran n'ait jamais réagi de la sorte lors de la ratification du traité de Lisbonne en 2005. Rappelons que ce traité devait être ratifié par TOUS les membres de l'UE, la défection d'un seul le rendait caduc. Ce qui fut le cas en 2005 puisqu'il fut rejeté par référendum par la France et les Pays-Bas. Qu'à cela ne tienne, un traité " simplifié " fut repassé aux pays récalcitrants, mais par la voie parlementaire. Sauf pour l'Irlande qui le rejeta par référendum en juin 2008 ! Le traité, mort et enterré, va cependant être exhumé à la fin de cette année et proposé à nouveau au suffrage des Irlandais, qui seraient encouragés cette fois à " bien voter " au moyen de dispositions dérogatoires concoctées pour la circonstance. L'abstention massive ce mois-ci lors des élections au parlement européen est la première retombée de ce mépris du vote des électeurs que nous subissons depuis quatre ans. Qu'attend donc l'Iran pour dénoncer ces forfaitures successives ? Fidel Castro va t-il enfin sortir de son silence et Kadhafi de sa réserve pour asséner à l'union européenne cette leçon de démocratie qu'elle n'hésite pas à leur donner de temps à autre ! SETIF... COMBIEN DE TIEN AN MEN ? Juin 2009. A l'occasion du vingtième anniversaire des évènements de la place Tien An Men à Pékin, un certain nombre de pays, dont la France, ont enjoint la Chine de faire la lumière sur le nombre de victimes de ce massacre. On ne peut que se réjouir de l'attitude de notre pays à se préoccuper des massacres perpétrés par les autres. Ainsi nos parlementaires, depuis que l'essentiel de leur activité consiste à transcrire les directives européennes, n'hésitent pas à légiférer sur l'Histoire. N'ont-ils pas voici quelques années labellisé " génocide " le massacre des Arméniens par les Turcs en 1915 ? Quelque temps après, l'aspect "positif" de la présence française en Afrique du Nord à l'époque coloniale dut être dorénavant imposé aux historiens, dont l'un d'eux nous révélait. le nombre exact de personnes fusillées en 1959 par Fidel Castro ! Mais à ce jour, aucun parlementaire ou historien français n'est encore en mesure de nous dire combien d'Algériens ont été "positivement" massacrées à Sétif en mai 1945, dans ce qui était pourtant un département français ! Et les massacres de la Guadeloupe en mai 1967, en avez-vous seulement entendu parler ? A l'échelle de cette petite île, ils doivent bien valoir un Tien An Men ! Peut-être qu'un historien algérien nous en parlera un jour ? Dieu seul est laïc. Hélas, l'homme a des maladies religieuses cléricalement transmissibles , par voie masculine, chez les "Peuples du Livre", Francs-Maçons compris ! ( Pasteur Thommy Fellot - XIX° siècle). Agités du bocal Dans un pays libre et laïque, la religion, comme tout produit de l'esprit humain n'est pas à l'abri de la critique ni même de la dérision. La loi n'y reconnaît pas le sacré. Mais de nos jours, traiter Moïse et Jésus d'agités du bocal est un peu surfait et n'émeut plus les foules. Le blasphème, qui a disparu depuis longtemps du code pénal, ne paie plus. Sauf si vous complétez le trio en rajoutant le dernier monté sur scène, je veux parler de Mahomet. Vous voici à présent ISLAMOPHOBE et vous attirez non seulement l'animosité des sectateurs du susdit, ce qui peut se comprendre, mais plus surprenant, la réprobation des antiracistes de tous poils. Selon eux, l'islamophobe heurtant toute une "communauté" étrangère ou d'origine étrangère réputée musulmane serait de surcroît xénophobe et raciste. Etrange raisonnement, curieux raccourci. Le raciste n'est-il pas justement celui qui pratique l'amalgame, crée des stéréotypes ramenant des individus à un seul critère. Des maghrébins, turcs ou maliens qui n'ont de cesse d'affirmer leur diversité, il ne voit que le musulman. Aussi raciste que réduire les Africains à la couleur de leur peau ! Imbéciles utiles Nos anti-racistes seraient-ils des racistes qui s'ignorent ? Ou joueraient-ils plutôt le rôle d'imbéciles utiles pour, devinez qui ? Les islamistes. Car le "crime" d'islamophobie apparaît au code pénal de la bien-pensance à peu près au moment où les islamistes commencent sérieusement à faire parler d'eux. Utiliser les femmes pour déminer le terrain de la laïcité, faire resurgir un antisémitisme qu'on croyait tombé aux poubelles de l'histoire, en attendant sans doute de passer à la vitesse supérieure comme leurs amis qui exercent en Turquie ou au Maroc. Peu concerné par la religion musulmane, l'islamophobe ne serait-il pas plutôt agacé par ceux qui la manipulent à des fins profanes ? Et l'islamophobie, un pare-feu dressé par les islamistes pour se mettre du bon côté, celui des droits de l'homme ? Le bonjour d'Adolf Poussant le bouchon un peu plus loin ils peuvent alors se positionner en martyrs en faisant de la France une succursale de la Palestine. Plus encore, tous les musulmans du monde seraient victimes d'un complot de "l'Occident" dirigé en sous-main par les Juifs. Rien de neuf pour nous, sinon une mise à jour des délires hitlériens des années trente sur la conspiration "judéo-bolchevique". Sauf que les bourreaux nazis après leurs crimes n'avaient pas le culot de se faire passer pour des victimes. Christianophobie Regardons ce qu'il en est des persécutions strictement religieuses en ce moment dans le monde. Indonésie, Pakistan, Nigéria, Egypte, Soudan : elles sont sans exception le fait d'islamistes et ont pour victimes des chrétiens, comme prétexte la Palestine et à présent l'Irak. L'amalgame encore et toujours. Le colonialisme anachronique d'Israël et l'agression américaine contre l'Irak ont des causes géo-stratégiques, des raisons terre à terre bien éloignées de la religion. Jeter des grenades dans des églises à Djakarta ou à Islamabad n'est pas une réponse au dynamitage des maisons palestiniennes par les sionistes. Puisqu'il est de mode d'inventer des mots nouveaux, on pourrait parler de christianophobie. A ceci près que le christianophobe ne se contente pas de parler, il massacre. Son prosélytisme sanglant et régressif nous renvoie l'image inversée des Croisades et de l'Inquisition, au temps du "chrétinisme" triomphant. Divine surprise Mais revenons en France aujourd'hui, pour nous pencher encore sur le sort des malheureux islamophobes accusés de racisme. Cette casaque, cousue de fil blanc pour les islamistes par les anti-racistes estampillés n'est-elle pas aussi usée que celle, réversible, qui associe la délinquance et l'immigration ? Rien d'étonnant à cela. Le Front National et les islamistes poursuivent le même objectif, maintenir les immigrés dans un ghetto: social pour les premiers, mental pour les seconds. Et en plus, ceux-là sont antisémites. Quelle aubaine et quelle divine surprise pour les premiers : ils font leur travail ! Blonds aux yeux bleus Les inventeurs de l'islamophobie se comptent dans des organismes tels que le MRAP qui autrefois, si j'ai bonne mémoire, luttait contre le racisme ET l'antisémitisme. Ce dernier objectif a disparu, remplacé par un placebo : "l'amitié entre les peuples". Bizarre. Ils contribuent à rassembler les immigrés de toutes origines sous la bannière du prophète, au besoin contre l'étoile de David, parce que, en retard d'une guerre, ils ne voient les fascistes que sous l'apparence d'un blond aux yeux bleus ! Indifférence Ils ignorent aussi que cette "masse" d'immigrés est composé d'individus. Revendiquent-ils tous et entièrement l'étiquette "musulmane" ? Comme partout, les sentiments religieux ne recouvrent-ils pas toutes les nuances allant de l'agnosticisme à l'athéisme ? Peut-être même trouve t-on parmi eux des islamophobes ? Plutôt que la revendication identitaire et ethnique, l'antiraciste authentique ne doit-il pas au contraire mettre en avant un droit fondamental, celui à l'indifférence. Il permettrait aux immigrés d'échapper tant aux fascistes tricolores qu'aux fascistes verts, et de prendre place dans la société, sans qu'on leur reproche ou qu'on exige d'eux de prouver sans cesse leurs origines. Lu dans "Marianne août 2003" : Le roi du Maroc, Mohammed VI, a souhaité l'adoption d'une loi interdisant la constitution de partis politiques sur une base religieuse, ethnique, linguistique ou régionaliste." Quelle belle leçon de laïcité politique dans la bouche d'un monarque, provenant de plus d'une de nos anciennes colonies. Nos élites modernistes et branchées feraient bien s'en inspirer, au lieu de fricoter avec le tribalisme ethnique en Corse ou d'offrir une tribune à l'islamisme politique. Une fois n'est pas coutume : VIVE LA REPUBLIQUE ET VIVE LE ROI ! En juillet 2003 au cours de sa visite en Polynésie, le Président de la République a exprimé sa reconnaissance au territoire pour sa contribution à l'arme nucléaire française. Puis il a voulu donner un nouvel élan à l'autonomie polynésienne en transformant le territoire en "pays d'outre-mer", doté de pouvoirs législatifs. On peut craindre toutefois que les 4700 travailleurs polynésiens, exposés sur l'atoll de Mururoa à une radio-activité 371 fois supérieure au seuil règlementaire ( selon les informations fournies en 1999 par le laboratoire du CRII-RAD) ne soient plus en mesure de comprendre les subtilités du discours présidentiel. Aussi avons-nous tenté de le traduire en langage post-colonial, ce qui nous donne : " Bande de macaques, maintenant que vous avez fini de nous servir de cobayes pour nos expériences nucléaires, vous pouvez regrimper sur votre cocotier !" UNE GUERRE FROIDE AU GOUT DE RECHAUFFE Les peuples qui n'ont pas peur sont ingouvernables. Ils se laissent aller, ont des goûts de luxe, des désirs de riches : travailler moins, moins longtemps, se soigner gratuitement et se baigner sous les cocotiers ! Hélas, tous ces rêves sont parfaitement réalisables ! Sauf s'il existe un ennemi héréditaire. Vous savez bien, celui qui guette à nos frontières, qui se fout lui, des cocotiers, car il ne rêve que d'égorger nos filles, nos compagnes ! L'ennemi héréditaire, ce comparse indispensable des nations sages dont le rôle, en ce qui nous concerne, a été magistralement interprété par l'Allemagne jusqu'en 1945, date à laquelle elle fit relâche et repassa le costume à l'URSS. Hélas, cet ogre qui devait nous manger tout crû, cette super-puissance contre laquelle nous avons économisé sous après sous pendant quarante ans a déposé son bilan comme une vulgaire PME, sans tirer un seul coup de feu ! On ne soulignera jamais assez la perfidie du communisme soviétique qui a préféré se saborder plutôt que de se battre à la loyale. On n'en attendait pas moins des successeurs de Staline ! A cet instant, des personnes mal informées ont cru que cette issue fatale annonçait la décrue des dépenses militaires. C'était compter sans le complexe militaro-industriel pour qui la fin de cette guerre froide n'annonçait que le début de la suivante, et grâce à qui nous aurons peut-être demain la sécurité sociale à deux vitesses, la retraite à soixante-dix ans et cependant la possibilité pour les plus jeunes de voguer vers les cocotiers à bord d'un nouveau porte-avion. Car devant la catastrophe qui s'annonçait, il a fallu improviser un nouveau casting pour remplacer l'acteur défaillant. Khadafi ? Ce cabot a trop brûlé les planches. Le Grand Duc de Luxembourg ? Intouchable, car tenancier d'un paradis fiscal. Qui restait-il ? Bon sang mais c'est bien sûr : Saddam Hussein ! Une gueule ce type, et une présence ! Et une vieille connaissance ! Ne l'avait-on pas déjà armé contre l'Iran ? Bien sûr dans un souci d'équité, on avait également pourvu son adversaire. Pour le complexe militaro industriel, peu importe qui gagne la guerre, l'essentiel est qu'elle dure. Ensuite il a suffi de monter du doigt le vainqueur, de l'accuser d'être surarmé, et de l'attaquer cette fois-ci au nom du "droit international", en détruisant l'arsenal dont on l'avait précédemment doté, notamment en armes "interdites" par le bon usage et dont on se demande bien où il a pu les trouver. Le complexe militaro-industriel n'est pas un fantasme. Il existe, et a d'ailleurs existé aussi en URSS. Le premier à l'évoquer, pour s'en inquiéter, fut le président américain Eisenhower dans les années cinquante. Une politique de défense, donc une armée, nécessite des moyens industriels. Ces derniers doivent rester subordonnés à cette politique. Dans le cas contraire le moyen devient la fin et la politique, donc éventuellement la guerre, n'est plus que l'expression des intérêts des industriels. Au fait, à quoi se reconnaît le complexe militaro-industriel ? Par exemple, à une dynastie de constructeurs d'avions où l'on est député de père en fils et où l'on siège de préférence à la commission de la défense nationale. TOUS CHRETIENS, SAUF LES TURCS ! Jean Paul II lors de son intervention au Parlement italien a émis le vu que l'on introduise la dimension "chrétienne" dans la construction européenne. Intervention particulièrement opportune quand la Turquie frappe à nouveau à la porte de l'Europe. Que se passera t-il lorsque viendra le tour de l'Albanie ou de la Bosnie ? Que fera t-on un jour de la France dont une fraction notable de la population est cataloguée comme "musulmane" ? Passons sur le fait que cette Europe "chrétienne" compte une fournée d'hérétiques tels que Grecs, Anglais plus une bonne partie des Allemands. Bien sûr, tout le monde aura compris que le pape faisait allusion à la dimension culturelle et historique et non à la religion censée être pratiquée par les européens. Parce que les Turcs n'ont jamais cherché à les convertir de force, les pays balkaniques, d'Athènes à Budapest, sous domination ottomane pendant plus de quatre siècles, ont gardé leur culture chrétienne. Les prédécesseurs de JP II n'ont pas eu cette délicatesse avec les Indiens d'Amérique, aujourd'hui "latine", si bien que les survivants s'ils n'étaient pas si loin, seraient sans doute dignes de faire de "bons européens". Le krach de 2002 qui a fait perdre un tiers de sa valeur au CAC40 a eu au moins un mérite, celui de mettre provisoirement au placard les arguments en faveur des fonds de pension, c'est à dire des retraites indexées sur les cours de la bourse. Les idéologues du libéralisme se tournent à présent vers leur autre cible favorite : la sécurité sociale. Leurs estafettes ont lancé quelques ballons d'essai. Selon l'une d'elles, Jacques Barrot, la sécurité sociale ne devrait plus couvrir que les maladies graves, les affections courantes faisant l'objet d'assurances complémentaires. Derrière cette avant garde se profile le gros de la troupe, en fait AXA, qui après avoir absorbé ses concurrents, s'attaque au "marché" de la santé. Selon tous ces braves gens, la sécurité sociale telle qu'elle existe serait au dessus des moyens de la France d'aujourd'hui. On attend qu'ils nous expliquent comment elle a pu être créée en 1945 dans un pays appauvri par cinq ans de guerre et de pillages ! Quant aux retraites par répartition, elles seraient mises en cause par le déséquilibre démographique entre actifs et inactifs. Tous nos experts et prévisionnistes sont en phase sur ce point. Mais ils le sont également sur un taux de chômage "incompressible" de 8% de la population active qui renforcerait ce déséquilibre et ce, jusqu'au l'horizon 2040. La pénurie de main-d'uvre d'engendrerait donc pas le plein emploi ? Les "libéralistes", les intégristes du libéralisme ont horreur de ce terme obscène. Le chômage est nécessaire pour faire pression sur les revenus des actifs, aggravant ainsi le déséquilibre et les obligeant à travailler plus longtemps. Car retraite par répartition et sécurité sociale sont pour les idéologues du libéralisme et leurs commanditaires une double hérésie. Hérésie économique, puisque par ce mode de fonctionnement, des sommes considérables passent immédiatement des cotisants aux bénéficiaires sans transiter par des circuits financiers (fonds de pension, compagnies d'assurance), démontrant ainsi au passage l'inutilité de ces derniers. Hérésie sociale ensuite puisqu'ils impliquent une solidarité entre malades et bien portants, entre retraités et actifs. Solidarité donc lien social. C'est tout le contraire d'une société "libérale", d'une non-société où des individus atomisés, perméables à la propagande ( pardon, à la publicité !) achètent les yeux fermés des actions de Vivendi ou de France Télécom ! L'ARROSEUR ARROSE : Est Républicain du 21- 06- 2006 Le MEDEF et la CGPME s'inquiètent de l'augmentation des tarifs de l'électricté et du gaz depuis l'ouverture des marchés de ces sources d'énergie en 2004 pour les entreprises. La hausse des tarifs de l'électricité depuis trois ans a atteint 70% voire 100%. La France détiendrait le record d'Europe avec une hausse de 48% en 2005-2006. Comment est-ce possible alors que l'ouverture devait au contraire amener une baisse des tarifs, selon ces mêmes défenseurs de la libre concurrence ? L'un de leurs porte parole explique que :"L'ouverture actuelle est basée sur du court terme et une absence de coordination au niveau européen." " L'ouverture du marché était nécessaire, mais n'a pas été suffisament accompagnée, renchérit un autre." En clair, on a voulu faire le maximum de profits dans le minimum de temps. Quant à l'absence de coordination, rappelez-vous le défunt projet de "traité constitutionnel", qui outre la concurrence "libre et non faussée" insistait à chaque page sur "la prohibition de toute harmonisation dans le domaine économique et social " Cette histoire prêterait à rire, si des entreprises comme celles utilisant l'electrolyse, ne voyaient leur coûts de fabrication augmenter de 40% ! Profitons toutefois de ce dérapage du MEDEF avant qu'il ne retombe dans ses vieilles ornières : les charges sociales et les 35 heures, pour expliquer le manque de compétitivité des entreprises. Et réjouissons-nous : le premier janvier 2007, le marché du gaz et de l'électricité s'ouvrira aux particuliers !
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